La Ligue Nationale de Catch vous propose son gala de catch

A découvrir absolument !
Show inédit, haut en couleurs, en suspense et en intensité sportive – Ambiance garantie !

La SF 2023, s’entoure de La Ligue Nationale de Catch pour vous proposer un gala de catch réunissant les stars du catch.
Sur le ring combattront des références françaises : David Michel, le loup solitaire favori des foules actuel Champion International, Scott Rider, l’étrangleur franco-écossais, Bella Athéna la déesse des rings. Face à eux, des géants du catch de la scène internationale viennent pour les défier : ils auront fort à faire puisque des champions dans leur pays viennent les défier devant vous : Inca Warrior (Pérou), Ozzy Spencer (Hongrie), Ken Pyro (Slovaquie)…

Un peu d’histoire

Qui a créé le catch ?
Au début, le catch était une discipline sportive initialement affiliée à la fédération française de lutte. Il s’agit d’une réunion d’anciens sportifs de tous sports de combats confondus souhaitant poursuivre une carrière sportive à l’issu de leur retraite sportive imposée. En effet, dans la plupart des sports, la retraite sportive se prend après 35 ans en moyenne.

Le catch, un vrai sport

Quelles sont les différences de combat de catch ?
Eternelle question depuis le commencement de la discipline… Le catch est pratiqué de 4 manières en fonction des cultures et des pays :
– le Catch Sportif : qui est la genèse de la discipline où les coups sont portés (uniquement main ouverte) et l’incertitude du combat est réelle. Cette discipline tire son origine de la lutte gréco-romaine. Les catcheurs sont d’ailleurs souvent d’anciens lutteurs reconvertis
Exemple de pays où est pratiqué cette modalité : la LNC (France), le Japon, les pays de l’Est et la Russie.
– le Catch Américain ou « Pro-Wrestling » : qui est le produit américain avec toute la part de spectacle que cela comporte (comme tout ce que font les américains d’ailleurs…). Les coups sont feints et non portés, les catcheurs suivent un script sur lequel ils s’entrainent pour le maitriser sur le bout des doigts. Ce sont avant tout des sportifs mais également des acteurs, les chutes et les projections ainsi que de nombreuses prises restent les mêmes que celui sportif. Cependant tout est prédéterminé et travaillé à la perfection dans un « performance center ».
– le Catch Mexicain ou « Lucha libre » : qui est un élément culturel notamment au Mexique en lien souvent avec les origines ancestrales qui sont cultivées dans ces pays d’Amérique latine. Ce style de catch se caractérise par une grande dominance pour la voltige et une extrême souplesse, dextérité et l’essentiel des athlètes sont masqués aussi bien masculins que féminins. Le masque est souvent transmis de génération en génération comme un blason familial. Se le faire retirer en match est signe de déshonneur pour la famille et l’athlète doit ainsi abandonner son masque pendant 5 ans et catcher à visage découvert… Souvent la Lucha Libre est une discipline qui est ancrée dans la culture mexicaine avec beaucoup de couleurs portées sur les masques. L’origine ancestrale inca et maya y est très présente et la dimension du divin y est très importante.
– le Catch extrême ou « Hardcore » : qui est une façon de combattre sans règles avec des éléments extérieurs pour s’en prendre à son adversaire et à le faire saigner abondamment. Cette discipline est proscrite en France et peut heurter la sensibilité du spectateur. Elle est encadrée et doit comporter une équipe médicale très complète et nombreuse pour l’occasion. Elle se caractérise notamment par la présence de barbelé à la place des cordes, les combattants se bandent les mains et trempent ensuite leurs poings dans de la colle et du verre pilé… Tout est bon pour causer un maximum de dommage à l’adversaire. Ainsi, des tables, des chaises, des échelles et autres éléments extérieurs peuvent être utilisés.
La Ligue Nationale de Catch (France) fait uniquement combattre des athlètes sur la modalité sportive ou mexicaine. D’ailleurs certaines prises américaines sont proscrites (marteau-pilon).

Quelles sont les règles du catch ? Quel est le but ?

Le but principal est de gagner, mais avec la manière. Chaque athlète développe des techniques qu’il personnalise avec le temps, comme certains combos de prises. Les règles sont globalement en 1 contre 1 : les coups doivent être portés uniquement main ouverte (sauf les coups de poings marteau), Interdiction de tirer les cheveux, pas de doigts dans les yeux, pas de coups tranchants à la gorge, pas de coups au plexus solaire, pas de coups bas… En fonction des matchs, l’arbitre peut ajouter l’interdiction de projeter son adversaire par-dessus la 3ème corde et l’interdiction de retirer le masque ou de tirer la barbe le cas échéant. Le visage est proscrit mais les coups d’avant-bras sont autorisés (seulement à plat pas avec le coude). D’autres règles peuvent s’ajouter en fonction des matchs (notamment en équipe) !
Lorsqu’un adversaire est pris en prise de soumission ou en étranglement, il a 7 secondes avant que l’arbitre ne casse la prise ou qu’il n’abandonne. Les catcheurs peuvent utiliser les cordes et les coins pour augmenter la puissance de leurs impacts ou leur vitesse d’action.

Les matchs de catch en France

Le catch français ne connaît pas le même essor que le catch américain. Celui-là a connu un réel succès aux débuts des années 1950, jusqu’à la fin des années 1970, avec des grandes têtes d’affiches telles que l’Ange Blanc, le Bourreau de Béthune ou encore le Petit Prince. Le combattant le plus connu et renommé de l’histoire du catch français était André le Géant. Mais, aujourd’hui, le catch français revient petit à petit en force avec des personnalités comme notre catcheur de Pont à Mousson David Michel, le loup favori des foules, Bella Athéna la déesse des Rings ou encore la légende Scott Rider, l’étrangleur franco-écossais qui a plus de 30 ans de carrière dans la discipline !